14/10/2019

Le maire ne se représentera pas ; les problèmes demeurent : bombe à retardement

Toujours le casse-tête à Grosbreuil.

L'ASVB rendait récemment compte de la situation dans son communiqué.
En synthèse : quatre recours judiciaires sont en attente de jugement. Si le tribunal invalide la déclaration d'utilité publique, l'expropriation est nulle et les terrains expropriés devront être restitués. Les élus auraient alors engouffrés la commune dans un problème majeur.
L'ASVB s'interrogeait dons : " si le maire actuel ne se représentait pas, ce serait les successeurs qui  pourraient payer les pots cassés si les choses ne se terminaient pas comme prévu..."

Donc, une bombe à retardement qui va agiter la commune, si on comprend bien...

De son côté le maire de Grosbreuil a fait savoir à la presse qu'elle ne se représenterait pas.
"À 64 ans, j’ai l’âge d’aspirer à la retraite."
cf. article Ouest France du 03/10/19 (lien ici)

La retraite tranquille pour elle, c'est pour les successeurs...

Dans un autre article, le maire communique son bilan dont elle semble satisfaire.

article Ouest France du 06/10/19 :
source : ici

15/09/2019

Expropriations : ça y est ! Et alors ? : toujours rien de définitif...

Voici le communiqué de l''ASVB au sujet des expropriations à Grosbreuil :



Communiqué de l'ASVB
10 septembre 2019

Expropriations à Grosbreuil : le projet de chemin pédestre compromis mais toujours pas de certitude pour la commune

3,7 hectares de terrains convoités par la mairie dans la vallée de la Bénatonnière pour construire de nouvelles infrastructures de foot ont été expropriés. Cette expropriation est effective depuis septembre mais elle n’est pourtant pas définitive. En effet il y a encore pas moins de quatre recours devant le tribunal dont celui de l’ASVB, et ce n’est pas fini car plusieurs anomalies (dont conflit d’intérêt) ont été relevées, les riverains pourront faire valoir leurs préjudices, etc. 
Si la mairie commençait son projet avant que les affaires ne soient jugées, cela ferait courir un très gros risque à la commune, et si le maire actuel ne se représentait pas, ce serait les successeurs qui pourraient payer les pots cassés si les choses ne se terminaient pas comme prévu…

Or une convention d’assistance de Maitrise d’Ouvrage a été signée avec l’Agence de Service aux Collectivités Locales de Vendée pour une 1ère phase de travaux à hauteur de 720 000€ , raison pour laquelle les taxe d’habitation, taxe foncière bâtie et taxe non bâties ont été augmentées (+0,5%) lors du dernier vote du budget communal 2019. Comme le vote a été serré avec 50% pour et 50% contre, c'est la voix prépondérante du maire qui a permis de valider ces hausses.

En définitive c’est toute la commune qui a été abusée puisque au départ la mairie avait amadoué les grosbreuillois en justifiant d’une orientation de tourisme vert et de respect de la ruralité pour faire passer le PLU. Au final, il s’agissait de soutenir un projet commercial, qui n’était pourtant pas possible et qui a donc fatalement vite été abandonné. Le seul et unique projet de tourisme vert, celui de l’ASVB, a au contraire été ignoré et supplanté par ce projet de près 4 hectares d’urbanisation de bois et de terrains agricoles, pour un projet sportif et culturel coûteux (estimation officielle partielle de 3,5 millions d’euros annoncés durant l'enquête publique de 2017) avec une implantation incohérente voire dangereuse. A Grosbreuil, on ne compte pas : après avoir payé un terrain d'entraînement qui n'est pas utilisé, la commune vient de démolir le beau mur en pierre qu'elle avait récemment restaurée place de l'église... Pas besoin de regarder la télé pour avoir des exemples de gabegie.
Cette expropriation ne correspond donc pas aux promesses du PLU et c’est la collectivité qui trinque.De son côté l’ASVB porte depuis six ans un projet de protection et d’ouverture de cette vallée pour un chemin pédestre thématique. Celui-ci devait permettre d’ouvrir la vallée de la Bénatonnière, avec la co-visibilité entre le château et le bourg historiques et aurait permis de faire une boucle pédestre autour du bourg. C’est à la fois le respect de l’environnement, du patrimoine et des deniers publics. Les propriétaires concernés étaient tous d’accord mais malheureusement la mairie n’a jamais accepté le dialogue. Notre projet est aujourd’hui compromis mais pas désespéré, d'autant que nous recevons du soutien ce qu nous donne espoir. Pour le projet communal d’infrastructures sportives et de loisirs, de multiples autres solutions consensuelles et immédiatement disponibles étaient présentées à la commune et auraient permis dès 2013 d’équiper paisiblement la commune selon les besoins de la population et des associations. Le mairie a pris la responsabilité de rester obstinément fermée à tout échange et a choisi la manière forte : imposer coûte que coûte l’implantation la plus contestable, cherchant la confrontation au risque de bloquer divers projets dont le nôtre et même celui du foot à Grosbreuil où les sportifs attendent depuis plus de six ans et devront encore attendre... C’est le parfait modèle de la politique du perdant-perdant : tout le monde est perdant.
Le fond du problème est que nous ne sommes pas les seuls à déplorer de grosses difficultés d’échanges et d’information avec les édiles. Des informations ont été dissimulées. Des communiqués de l’ASVB ont carrément été ré-écrits ou censurés dans le bulletin municipal ! On nous avait déjà refusé un droit de réponse. Dernièrement nous avons écrit à deux reprises à la mairie pour transmettre des questions pratiques de nos membres sur l’aménagement du centre bourg qui inquiète légitimement : nous n’avons reçu pour tout retour qu’un rejet cynique du maire adjoint (...) : vos questions ne nous intéressent pas, circulez, il n'y a rien à voir. Cette politique hautaine est vraiment démoralisante et lassante pour tous. Avec cette façon de faire, qui dans la commune peut dire qu’il se sent écouté, respecté, encouragé ? C’est l’autoritarisme suffisant du pouvoir. C’est précisément ce genre de pratiques dont les gens pâtissent tant et ne veulent plus.

photo jointe : la dernière Assemblée générale de l'ASVB en août dernier


20/05/2019

Et encore une destruction en vue de zone protégée dans le PLU

A Grosbreuil, la commune n'en finit pas de chercher à dénaturer des zones.
Cette fois-ci, une haie protégée dans le PLU que la commune a elle-même ratifiée...
Le cynisme s'amplifie et n'en finit plus...

L'association La Garenne avec l'APP '(association pour la protection du paysage vendéen) appellent la population à venir "constater l'impact écologique et à se faire une opinion".




Journal des Sables, le 09/05/2019

08/05/2019

La Garenne, une association qui défend la nature



Un espace vert est devenu constructible. Un collectif de résidents s’en étonne et souhaite des explications sur le projet d’aménagement du lotissement de la Garenne

Lors du conseil municipal du du 29/04/2019, le maire de Grosbreuil précise que la haie sera supprimée pour 4 entrées, soit la moitié des lots. Cette haie est pourtant classée EBC (espace boisé classé) en totalité dans le PLU (haie à conserver au titre du L 123-1-5-7 du code de l’urbanisme)...

La commune tentera-t-elle un nouveau coup de force pour imposer ses vues conte la population en prenant le risque de tout bloquer une nouvelle fois pendant des années ?

Ces pratiques devenues habituelles sont inspirées par une politique perdant-perdant de zizanie et d'autoritarisme plutôt que de l'entente et du dialogue.

Au final, c'est l'intérêt général qui est pris en otage par ces postures politiques inadaptées.

Tout compliquer et perdre du temps pour s'imposer ? Ou bien respecter le climat de confiance et concilier les différents besoins dans une vision d'avenir de la commune ?

Ouest France, 16/04/2019
lien


Encore un projet d'urbanisme dénaturant l'environnement imposé de force ?




Journal des Sables du 14/04/2019


24/04/2019

Controverse autour des travaux du centre


Controverse autour des travaux du centre



La première partie de l’avant-projet d’aménagement autour de l’église, et notamment la circulation et l’accès rue des Lauriers et rue de la Rivière, avait été approuvée en octobre par le conseil municipal.
Le conseil s’est réuni pour voter la seconde partie de l’aménagement. Le conseiller municipal, Bernard Alincant, a exprimé des doutes : « Bloquer le parking de l’église, et ne le réserver que pour des cérémonies religieuses, posera problème. Ce parking est utilisé pour l’accès aux commerces, à la médiathèque, à l’école, et utilisé par ceux qui ne peuvent plus se garer dans rues du vieux bourg. »
Le conseiller s’interroge aussi sur le stationnement handicapé, les manœuvres des grands véhicules, la suppression du sens interdit dans la moitié de la rue des Lauriers. M. Alincant rappelle que la maison Giraudeau, léguée en 1943 par Marguerite Guérin, fait partie du patrimoine communal et que l’enceinte de cette maison a été restaurée il y a dix ans, par un mur de pierres. « Jusqu’où avons-nous le droit de modifier ce mur en pierres ? Il serait utile de vérifier les conditions testamentaires. »
Bernard Alincant soumet l’idée de réaliser une consultation publique.

Martine Durand, maire, rétorque qu’une commission aménagement du bourg, comprenant dix élus, a été spécialement créée. « La première partie de l’avant-projet a été validée en octobre et, ce soir, le vote de la seconde partie du projet montre, une fois de plus, que la majorité valide ce projet. » Le projet est accepté par douze voix pour, quatre abstentions et une contre.

30/01/2019

aménagmeent du centre bourg : lubies, bisbilles et puis circulez il n'y a rien à voir...

Aménagement du centre bourg : lubies, avec l'argent public. Bisbilles et puis circulez il n'y a rien à voir...
Cet acquiescement systématique des conseillers municipaux sans poser de questions... force vraiment à se poser de sérieuses questions...




23/01/2019

Haies bocagères : massacre à la tronçonneuse à Grosbreuil et Talmont

La presse interpelle par un titre choc !

Une nouvelle atteinte à l'environnement et au patrimoine à Grosbreuil

L'ASVB, représentée par H. du Rivau, de nouveau mobilisée.

Sources : Les Sables - Vendée journal , 17/01/2019


18/01/2019

Abattage de haie illégale à Talmont et Grosbreuil


source Ouest France 12/01/2019
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Un élagage de haie qui fait tiquer


L’élagage de cette partie de haie fait réagir les propriétaires et l’Association pour la protection du paysage..
L’élagage de cette partie de haie fait réagir les propriétaires et l’Association pour la protection du paysage.. | OUEST-FRANCE


Une partie des haies en bordure de la route de Talmont, juste avant le lieu-dit le Caillou-Blanc, a été taillée sévèrement à la demande d’Enedis, filiale d’ERDF pour dégager les lignes électriques (lire Ouest France du 31 décembre). L’entreprise Merceron environnement a été désignée pour ces travaux, qui sont aujourd’hui stoppés.
Daniel Rémignon, président de l’Association pour la protection du paysage (APP) Vendée, était sur place mardi. Il dresse ce constat : « Ce massacre est aussi en complète contradiction avec le Code de l’environnement et la loi de 1976 sur la biodiversité et la protection de la nature ».
Les propriétaires concernés montent aussi au créneau, car selon eux, « aucune autorisation ne nous a été demandée. »

09/01/2019

Cohabitation avec les animaux... entre eux !

A la Bénatonnière, une scène originale trouvée ici :

des animaux sauvages jouent au loup à Grosbreuil !


06/01/2019

Un inventaire amateur de la faune sauvage à la Béantonnière


Inventaire et photo à découvrir :  ici

Ces photos ont toutes été prises à la Bénatonnière : 

 Crapaud et salamandre
moule d'eau

 Faisan vénéré
 papillon
 couleuvre

05/01/2019

Abattage de haie : un nouveau scandale à Grosbreuil

Un invraisemblable et lamentable fait divers à Grosbreuil.

 A l'avant de la photo : la haie avant... Puis, à côté du pilier électrique et jusqu'à l'arrière-plan, la haie après le passage de "l'élagage" !

 Des chênes déjà anciens (25 ans ?) abattus à ras dans la haie...


 Les "élagueurs"qui saccagent en totale infraction de propriété laissent tout sur place !





Un nouvel abus en mépris de l'environnement et de la propriété est survenu à Grosbreuil, dénoncé par l'ASVB.




Des centaines d'arbres de haie ont été abattus par un sous-traitant d'Enédis (ex-ERDF filiale à 100% d'EDF).
Tous les trois ans environ, Enédis doit faire élaguer les haies à 3 m sous la ligne électrique.
Mais pour se faciliter la tâche, quoi de mieux que de raser carrément la haie sur des kilomètres, puis de mettre les propriétaires devant le fait accompli ?

Toutefois, en l'occurrence les propriétaires, qui sont les premiers responsables et acteurs de l'environnement, ne vont pas en rester là : il faut stopper de bafouer la propriété pour attenter à l'environnement, par des politiques absurdes.

Il est absurde d'un côté de subventionner la plantation de haies  avec des deniers publics tandis que d'un autre côté une société de service public en rase subrepticement d'autres à l'insu des propriétaires...