28/03/2023

L'ASVB lance le bouton d'arrêt d'urgence

 C'est l'ASVB qui lance une action originale :

une cagnotte durant un mois pour défendre le cadre de vie à Grosbreuil, contre le projet à 1,5 millions d'euros de transférer l'accès actuel de l'École de la rivière à l'arrière dans la Vallée de la Bénatonnière.

L’ASVB vous invite à actionner le couton d’arrêt d’urgence !



La campagne est lancée sur Helloasso : ici
Taper "Helloasso ASVB" dans un moteur de recherche pour trouver le lien.

Transfert d'accès : une campagne urgente pour suspendre les travaux

 L'ASVB diffuse un communiqué pour suspendre les travaux, et lance une campagne pour suspendre les travaux sous forme, non pas d'une pétition, mais d'une cagnotte durant un mois.

Communiqué de l'ASVB
Le 27/03/2023

Campagne contre les travaux de transfert de l’accès à l’École de la rivière dans la Vallée de la Bénatonnière 

 

 


 

 

L’ASVB vous invite à actionner le couton d’arrêt d’urgence !

C’est une mobilisation urgente contre le projet de transfert de l’accès à l’École de la rivière par l’arrière, dans la Vallée de la Bénatonnière.

 

Outre tous les sujets environnementaux que nous n’avons cessé de signaler, nous dénonçons un nouvel accès pas seulement inutile et coûteux, mais encore mal pratique et dangereux.

 

Or la commune veut lancer les bulldozers en toute hâte, dès ce mois de mars, peut-être pour anticiper toute prise de conscience et toute réaction de la population.

Dans sa précipitation, elle n'a même pas encore obtenu toutes les subventions, ce qui pourra augmentera la charge de la commune...

 

Ce nouvel accès vise à forcer les écoliers à rejoindre l'École de la rivière ou le car scolaire par une route à construire, qui sera en cul-de-de-sac, avec deux giratoires, un énorme parking inutile de 100 places (qui restera vide)... Il faudra faire 800 m de plus pour accéder l’école par l'arrière, emprunter une route plus dangereuse, emprunter un escalier d'une dizaine de marches...

 

Ceci va compliquer la vie quotidienne du bourg, créer de l'insécurité et de nouveaux problèmes sans bien régler des problèmes réels !

 

Pour cela, la commune s'arc-boute sur une demande complètement périmée de la directrice de l'École de la rivière qui avait publiquement réclamé en 2012 au nom de tout le personnel enseignant, un accès et un parking à l'arrière de l'école... C'était lors de l'enquête publique sur le PLU…

 

Mais depuis 11 ans, des aménagements ont été faits aux abords de l’École, et puis un huissier a même constaté qu'il n'y avait pas de problème de sécurité à l'entée actuelle !

 

En revanche, il y a un besoin plus global sur une station de car pour le ramassage scolaire : ceci ne concerne pas que l'école publique du village. Pourquoi envoyer tout le monde à l'arrière de l'École de la rivière ?

 

Il y a pourtant des solutions à étudier, et l'ASVB a des propositions, mais la mairie refuse toute écoute, tout dialogue : elle préfère l'autoritarisme et le conflit plutôt que de convaincre.

Ceci nous accule au contentieux judiciaire, notre dernier recoures quand il n’y a aucun dialogue possible.

 

Nous avons un projet alternatif et nous portons l'action et la voix des inquiets et des mécontents mais nous avons besoin de leur soutien moral et concret.

 

Plutôt qu'une pétition, nous lançons une campagne de soutien en ligne, sous forme de « cagnotte » très facile d'accès sur Internet à partir de 5 euros. Cette campagne urgente durera un mois. Elle est anonyme. Cela permettra aux familles de peser avec nous pour suspendre ces travaux avant qu’il ne soit trop tard !

 

Soutenir cette campagne, c'est agir pour stopper les bulldozers, demander le dialogue, reprendre le temps de l'écoute et de la réflexion sur les sujets d’urbanisme d’aujourd’hui.

 

 

La campagne est lancée sur Helloasso : ici

Taper "Helloasso ASVB" dans un moteur de recherche pour trouver le lien.

 

 


17/03/2023

Polémique au conseil municipal

Des questions gênantes ?

Cet article présente quelques confusions sur les noms et fonction mais l'essentiel est qu'il révèle les questions gênantes qui se posent !

source : Ouest France : ici

Le projet de zone de loisirs de Grosbreuil fait polémique au conseil municipal

À Grosbreuil, le projet de zone de loisirs fait polémique au conseil municipal. L’opposition soulève notamment l’annonce des travaux sous réserve d’attributions de subventions de l’État alors que le plan de financement n’est pas bouclé.

À Grosbreuil, les premiers travaux pour le projet de zone de loisirs font polémique au conseil municipal. Pour rappel, l’aménagement de cette zone, l’un des projets prioritaires pour 2023, devrait se faire en plusieurs étapes, avec notamment la sécurisation de l’école publique et des transports scolaires pour la première tranche, avec la création d’un giratoire à l’entrée du bourg. Les coûts prévisionnels pour cette opération s’élèvent à 1 278 795,52 € TTC. Pour cette concrétisation, la commune demande des subventions au Département. L’emprunt s’élèverait donc à 476 844,71 €.



Un problème soulevé par un citoyen

« Comment peut-on annoncer des travaux sur l’hypothèse d’un plan de financement non bouclé sous réserve d’attributions de subventions de l’État ? », se questionne Thierry du Rivau, président de l’Association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière (ASVB). Un problème soulevé par l’opposition qui demande une vue d’ensemble du projet. « Présent à cette réunion en tant que citoyen concerné par ce projet, j’ai soulevé un important problème de communication que j’ai confirmé par lettre écrite adressée au maire et au conseil municipal », explique Thierry du Rivau.


Lors d’un entretien en septembre 2022 avec les principaux concernés, Marc Hillairet, le maire et l’adjoint à l’urbanisme évoquent qu’aucun rapport d’huissier ne leur a été porté à connaissance. Dans cette circonstance, selon le président de l’ASVB, les élus devraient se rapprocher de l’avocat de la commune pour avoir tous les éléments importants du projet. « Pourtant, lors du dernier conseil de février, monsieur le maire n’a toujours pas eu connaissance, ni reçu le constat d’huissier nécessaire aux prises de décisions lourdes de conséquences, tant sur le plan des finances publiques que sur l’utilité réelle qui sont déjà contestés par certains » , ajoute-t-il.



Privés d’une pièce essentielle

Le conseil et la commission d’urbanisme ont donc été privés de l’étude d’une pièce essentielle qui aurait pu leur permettre de délibérer en toute connaissance de cause. « Pour nous assurer que l’information soit bien parvenue à tout le conseil, nous rappelons qu’un jugement sur le permis d’aménager n’est pas tranché à ce jour et qu’un pourvoi au conseil d’État est en cours à l’encontre de la décision de la cour d’appel de Nantes. »

Le président du conseil départemental, Alain Lebœuf, ainsi que le président de Vendée Grand Littoral, Maxence de Rugy, ont été informés du problème posé d’accorder des subventions à un tel projet allant à l’encontre de la politique actuelle de préservation des terres agricoles et du paysage.

Le "quoi qu'il en coûte" à Grosbreuil : la mairie voudrait lancer des travaux avant d'avoir les financements.

Il semble que le maire veut précipiter les travaux (coûteux, inutiles, non désirés...) et ceci avant même d'avoir obtenu les finances publiques ! 

C'est la politique qui consiste à mettre la charrue avant les bœufs !

source : Ouest France : ici

Grosbreuil. Travaux de la zone de loisirs : une demande de subventions

Lors du dernier conseil municipal, les élus se sont réunis pour évoquer le plan de financement de la première partie du projet de travaux de la zone de loisirs.


Celle-ci consiste en une desserte pour l’école la Rivière et les transports scolaires, dont les coûts prévisionnels s’élèvent à 1 065 662,93 € HT soit 1 278 795,52 € TTC, elle susceptible de bénéficier d’une subvention du Département au titre du nouveau programme Logement aménagement.

Le plan de financement de cette opération serait le suivant : coût des travaux d’aménagement, 1 006 172,93 € HT ; coût de la maîtrise d’œuvre, 59 490 € HT ; coût total, 1 065 662,93 € HT.


La subvention de l’État DETR (dotation équipement des territoires ruraux) 2023 pourrait s’élever à 289 498,20 €, la DETR 2021 à 129 360 €. Le fonds de relance à l’investissement de la Région, 20 540 € sous réserve d’attribution ; la subvention mobilité du Département, 40 000 € sous réserve d’attribution ; l’amende de police, 12 420,02 € ; et le fonds de concours Vendée Grand Littoral, 100 000 € sous réserve d’attribution. L’emprunt s’élèverait donc à 476 844,71 €.

Le début des travaux est prévu le 10 mars, avec une fin programmée le 5 décembre prochain.

Encore une démission d'un adjoint au maire à Grosbreuil

 À la mairie, c'est l'hécatombe.

On a du mal à suivre, mais c'est au moins la 3° démission d'un maire adjoint à Grosbreuil durant cette mandature.

Il y a d'abord eu la démission de l'adjoint aux finances (lire ici), puis l'adjoint à la communication ( ici )...


C'est symptomatique.

source : Ouest France : lien

Grosbreuil. Lætitia Barrain, adjointe, démissionne de ses fonctions

Lors du dernier conseil, Marc Hillairet, maire, et les élus ont dû procéder à la réélection des nouveaux membres au conseil d’administration du centre communal d’action sociale (CCAS) après la démission de Lætitia Barrain cinquième adjointe, vice-présidente du CCAS, chargée de la communication et conseillère municipale. Pour des raisons personnelles, elle n’a pas souhaité donner suite ses fonctions.