17/03/2023

Polémique au conseil municipal

Des questions gênantes ?

Cet article présente quelques confusions sur les noms et fonction mais l'essentiel est qu'il révèle les questions gênantes qui se posent !

source : Ouest France : ici

Le projet de zone de loisirs de Grosbreuil fait polémique au conseil municipal

À Grosbreuil, le projet de zone de loisirs fait polémique au conseil municipal. L’opposition soulève notamment l’annonce des travaux sous réserve d’attributions de subventions de l’État alors que le plan de financement n’est pas bouclé.

À Grosbreuil, les premiers travaux pour le projet de zone de loisirs font polémique au conseil municipal. Pour rappel, l’aménagement de cette zone, l’un des projets prioritaires pour 2023, devrait se faire en plusieurs étapes, avec notamment la sécurisation de l’école publique et des transports scolaires pour la première tranche, avec la création d’un giratoire à l’entrée du bourg. Les coûts prévisionnels pour cette opération s’élèvent à 1 278 795,52 € TTC. Pour cette concrétisation, la commune demande des subventions au Département. L’emprunt s’élèverait donc à 476 844,71 €.



Un problème soulevé par un citoyen

« Comment peut-on annoncer des travaux sur l’hypothèse d’un plan de financement non bouclé sous réserve d’attributions de subventions de l’État ? », se questionne Thierry du Rivau, président de l’Association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière (ASVB). Un problème soulevé par l’opposition qui demande une vue d’ensemble du projet. « Présent à cette réunion en tant que citoyen concerné par ce projet, j’ai soulevé un important problème de communication que j’ai confirmé par lettre écrite adressée au maire et au conseil municipal », explique Thierry du Rivau.


Lors d’un entretien en septembre 2022 avec les principaux concernés, Marc Hillairet, le maire et l’adjoint à l’urbanisme évoquent qu’aucun rapport d’huissier ne leur a été porté à connaissance. Dans cette circonstance, selon le président de l’ASVB, les élus devraient se rapprocher de l’avocat de la commune pour avoir tous les éléments importants du projet. « Pourtant, lors du dernier conseil de février, monsieur le maire n’a toujours pas eu connaissance, ni reçu le constat d’huissier nécessaire aux prises de décisions lourdes de conséquences, tant sur le plan des finances publiques que sur l’utilité réelle qui sont déjà contestés par certains » , ajoute-t-il.



Privés d’une pièce essentielle

Le conseil et la commission d’urbanisme ont donc été privés de l’étude d’une pièce essentielle qui aurait pu leur permettre de délibérer en toute connaissance de cause. « Pour nous assurer que l’information soit bien parvenue à tout le conseil, nous rappelons qu’un jugement sur le permis d’aménager n’est pas tranché à ce jour et qu’un pourvoi au conseil d’État est en cours à l’encontre de la décision de la cour d’appel de Nantes. »

Le président du conseil départemental, Alain Lebœuf, ainsi que le président de Vendée Grand Littoral, Maxence de Rugy, ont été informés du problème posé d’accorder des subventions à un tel projet allant à l’encontre de la politique actuelle de préservation des terres agricoles et du paysage.

Le "quoi qu'il en coûte" à Grosbreuil : la mairie voudrait lancer des travaux avant d'avoir les financements.

Il semble que le maire veut précipiter les travaux (coûteux, inutiles, non désirés...) et ceci avant même d'avoir obtenu les finances publiques ! 

C'est la politique qui consiste à mettre la charrue avant les bœufs !

source : Ouest France : ici

Grosbreuil. Travaux de la zone de loisirs : une demande de subventions

Lors du dernier conseil municipal, les élus se sont réunis pour évoquer le plan de financement de la première partie du projet de travaux de la zone de loisirs.


Celle-ci consiste en une desserte pour l’école la Rivière et les transports scolaires, dont les coûts prévisionnels s’élèvent à 1 065 662,93 € HT soit 1 278 795,52 € TTC, elle susceptible de bénéficier d’une subvention du Département au titre du nouveau programme Logement aménagement.

Le plan de financement de cette opération serait le suivant : coût des travaux d’aménagement, 1 006 172,93 € HT ; coût de la maîtrise d’œuvre, 59 490 € HT ; coût total, 1 065 662,93 € HT.


La subvention de l’État DETR (dotation équipement des territoires ruraux) 2023 pourrait s’élever à 289 498,20 €, la DETR 2021 à 129 360 €. Le fonds de relance à l’investissement de la Région, 20 540 € sous réserve d’attribution ; la subvention mobilité du Département, 40 000 € sous réserve d’attribution ; l’amende de police, 12 420,02 € ; et le fonds de concours Vendée Grand Littoral, 100 000 € sous réserve d’attribution. L’emprunt s’élèverait donc à 476 844,71 €.

Le début des travaux est prévu le 10 mars, avec une fin programmée le 5 décembre prochain.

Encore une démission d'un adjoint au maire à Grosbreuil

 À la mairie, c'est l'hécatombe.

On a du mal à suivre, mais c'est au moins la 3° démission d'un maire adjoint à Grosbreuil durant cette mandature.

Il y a d'abord eu la démission de l'adjoint aux finances (lire ici), puis l'adjoint à la communication ( ici )...


C'est symptomatique.

source : Ouest France : lien

Grosbreuil. Lætitia Barrain, adjointe, démissionne de ses fonctions

Lors du dernier conseil, Marc Hillairet, maire, et les élus ont dû procéder à la réélection des nouveaux membres au conseil d’administration du centre communal d’action sociale (CCAS) après la démission de Lætitia Barrain cinquième adjointe, vice-présidente du CCAS, chargée de la communication et conseillère municipale. Pour des raisons personnelles, elle n’a pas souhaité donner suite ses fonctions.