28/11/2023

Grosbreuil a pu renouer avec sa tradition forestière ! Avec la Bénatonnière et le Drakkar de Vendée.

L'origine du mot Grosbreuil évoquerait le bois : gros bois.
Ceci signale la présence ancienne de forêt.
Cette ressource est actuellement d'autant plus précieuse qu'elle se fait rare en Vendée, département très peu boisé. Au lieu de défendre nos forêts, la commune a exproprié un bois pour le raser...

Fait intéressant : la Bénatonnière fait de la résistance et a été fière d'offrir cet été un chêne multi-centenaires pour le chantier de construction du Drakkar de Vendée.

Une fierté pour Grosbreuil !

Communiqué de l'ASVB :

"À l’issue de l’AG , les membres de l’ASVB se sont rendu à la « base navale viking » visiter le chantier du Drakkar de Vendée. Philippe Renaudet, président de cette association de passionnés, a guidé la visite d’une  trentaine de personnes de tous âges.

Les terribles vikings ont marqué leur présence sur le territoire ligérien et vendéens. La commune de l’Ile d’Olonne arbore d’ailleurs un drakkar sur son blason et ce n’est pas par hasard que l’un des drakkars les plus connus soit désormais celui… du Puy du Fou.

La construction d’un drakkar est un défi auquel participent de nombreux passionnés et partenaires divers. La charpente d’un drakkar du VIII° siècle est complexe même au XXI° siècle.  C’est une charpente avec une coque à clin : les bordés (planches) de la coque sont disposées  en se chevauchant et non pas bord à bord.


Les visiteurs ont pu observer des charpentiers à l’œuvre pour ce drakkar qui mesurera près de 24 m de long. Sa construction requiert  17 tonnes de bois !

Plusieurs forestiers, membres de Fransylva (syndicat forestier), ont permis à ce chantier de voir le jour. Le domaine de la Bénatonnière (Grosbreuil) fait partie des quelques donateurs vendéens. Madame du Rivau, présidente de l’ASVB, se réjouit que le chêne de la Bénaotnnière contribue à cette aventure humaine fondée sur la transmission des savoir-faire. « Transmettre un chêne plus centenaire, transmettre des valeurs et des métiers à des plus jeunes, c’est associer plusieurs générations passées et à venir et voir loin. La forêt tient une place importante dans l’histoire de Grosbreuil dont le nom signifie  anciennement gros bois. Nos membres sont heureux que le bois de Grosbreuil participe à ce projet mais  regrette que la commune de Grosbreuil, qui ne partage pas ces valeurs et a exproprié un petit bois pour le déboiser et l’urbaniser, ait refusé de partager ce beau programme dans le bulletin communal, le maire refusant toujours de rencontrer les membres de l’association ».



Philippe Renaudet précise que ce projet est un défi technique, sportif, culturel et vendéen. La mise à l’eau est prévue pour le printemps 2024. Ensuite, il devrait naviguer vers la Norvège, l’Amérique, remonter la Seine, être présent au départ du Vendée Globe…. L’aventure ne fait donc que commencer, portée par les forêts de Vendée et de la Bénatonnière !

21/08/2023

Contribuables associés épingle une mauvaise gestion en Vendée : Grosbreuil

 Gaspillage des fonds publics, hausse de la fiscalité, destruction environnementale.

Cela finit par se voir.

Contribuables associés a épinglé le projet ubuesque de la commune de Grosbreuil...




17/08/2023

Le maire refuse de rencontrer les signataires de la pétition !

 Le maire de Grosbreuil, Marc Hilairiet, refuse de rencontrer une délégation des signataires de la pétition "sonnette d'alarme" !

Au printemps, plus de 70 personnes avaient participé à la pétition en ligne pour manifester leur inquiétude et demander du dialogue.

Le maire s'en moque totalement. Apparemment, pour lui ce ne sont que de vulgaires citoyens de seconde zone...

Pourtant la question se pose : pourquoi tant d'exclusion et de renfermement ? Dans le fond : qui soutient ce projet communal ? Aucune association, ni le club de foot, doutes importants pour l'école et les parents d'élèves... En revanche, on ne compte plus les instances qui émettent un avis défavorables...

source : Journal des Sables du 10/08/23




18/05/2023

Les familles demandent la suspension des travaux et une rencontre avec le maire !

nota ben : en réalité au terme de la campagne, survenu après la rédaction de cet article, c'est même 76 personnes qui participé à la pétition ! 


article du Ouest France à lire : ici



Grosbreuil. 69 internautes contre le projet d’urbanisation


Ouest-FrancePublié le 

L’association ASVB (Association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière), opposée à l’implantation d’une zone d’infrastructures publiques (complexe sportif, salle polyvalente) dans la vallée de la Bénatonnière, a lancé récemment une campagne sur Internet de soutien qui s’est terminée fin avril. Grâce à elle, 1 850 € ont pu être collectés.





« Cette campagne en ligne manifeste aussi le niveau de motivation, se réjouissent les membres de l’association ASVB. La démarche pour participer était plus compliquée qu’une simple signature. Au final, certains de nos adhérents habituels n’ont pas réussi à s’inscrire. Cette démarche moderne a permis, en revanche, de mobiliser beaucoup de nouvelles personnes, globalement plus jeunes. À ce jour, 69 personnes, toutes majeures, ont participé et tiré la sonnette d’alarme », expliquent-ils.


L’association souhaiterait plutôt pour la vallée de la Benatonnière la création d’un chemin thématique ​autour du château, qui pourrait contribuer à la promotion de la vie de village, sensibiliser aux caractéristiques rurales, avec des attractions possibles : table de pique-nique, fresques historiques, potager pédagogique, composition florale, exposition d’objet de la vie d’antan, plantation d’espèces (arbres, légumes…), animaux, etc.« Nous demandons au maire de Grosbreuil, Marc Hillairet, de stopper son projet et attendons d’être reçus pour échanger », demandent les membres.

11/05/2023

bilan inattendu de la pétition : forte mobilisation !

Forte mobilisation !

COMMUNIQUÉ de l’ASVB

(Association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière)

Le 02/05/2023

 


Bilan de la campagne en ligne contre le projet d'urbanisation et de modification d'accès de l'école à Grosbreuil.

 


L'ASVB a mené une campagne en ​​ligne durant le mois d'avril pour "actionner le "bouton d'arrêt d'urgence" du projet d'urbanisation dans la vallée de la Bénatonnière à Grosbreuil, jugé calamiteux.

C'était un pari risquéL'ASVB a cherché un moyen pour exprimer le niveau d'inquiétude sur ce projet d'urbanisation.

Le bilan de notre campagne dépasse nos prévisions ! Elle manifeste aussi le niveau de motivation. La démarche pour participer était plus compliquée qu'une simple signature, gratuite et à la va-vite, sur une feuille en papier. En effet, il fallait aller sur Internet, remplir le formulaire, matérialiser le soutien par un paiement en ligne (€ minimum)Au final, certains de nos adhérents habituels n'ont pas réussi à s'inscrire en ligne mais cette démarche moderne a permis en revanche de mobiliser beaucoup de nouvelles personnes, globalement plus jeunes. À ce jour, 69 personnes (toutes majeures) ont participé et tiré la sonnette d'alarme !

Les élus communaux, intercommunaux et départementaux doivent l'entendre et répondre à cette inquiétude sans l'ignorer ! Ce projet va à l'encontre de la politique annoncée par le département !

 

69 participants : la mobilisation dépasse donc les riverains -qui y ont quasiment tous participé- car cette alerte à une portée générale.

Les participants manifestent une inquiétude sur la dégradation de qualité de vie et le gâchis, et mécontentement sur les abus publics.

 

Les participants sont attachés à la défense environnementale et du patrimoine, défense du cadre de viedu bon usage de la terre et de l'argent public. On ne peut pas faire n'importe quoi n’importe comment : sans étude environnementale, économique, sans information ni consultation de la population (parents d'élève, riverains, usagers...), ni étude des propositions alternatives.

 

Nos associations n'ont pas d'autres moyens d'appeler à la raison et au dialogue. Cette campagne, c'est un peu un référé populaire pour attirer l'attention. Halte au gaspillage ! À quand un projet d'avenir raisonnable, bien adapté et répondant à tous les besoins à Grosbreuil ? Le premier besoin de la commune aujourd’hui : écouter, accepter le dialogue, cesser la politique de la contrainte, respecter notre environnementLa force principale de l'ASVB n'est pas d'abord notre nombre mais nos arguments et le fait d'avoir déjà alerté et eu raison à plusieurs reprises (sur le pseudo-projet d'hôtel de luxe à la Bénatonnière, la pseudo-insécurité de l'école, la sous-estimation des coûts pour le contribuable, etc.)

 

Nous demandons à Monsieur le maire de stopper son projet et nous attendons toujours et encore d'être reçus pour échanger. Il faudrait qu'il reçoive une délégation de nos membres et ne plus nous ignorer. 

Il reconnait ne plus savoir s'il a diffusé ou non aux élus le constat d'huissier réalisé sur l'accès à l'école...

Sourde oreille, amnésie sélective : comment avancer dans ces conditions ?

 

Finalement qui soutient ce projet démesuré, mal implantépérimé, à contre-sens des enjeux actuels ? L'École ? Le Club de foot ? Alors, qui ?

Ce vieux projet conçu il y a plus de 11 ans n'est plus à la page. En 2023, on y voit plus clair et il y a d'autres besoins pour accompagner les familles de Grosbreuil. Pour avancer ensemble au lieu d'imposer d'en haut, il faudrait un changement de méthode et de l'ouverture.

 

Notes :

La campagne consultable ici ou en tapant "Helloasso Bénatonnière" dans Google :

 

 

Contact :

vallee.benatonniere@gmail.com

https://sites.google.com/site/asvbvalleebenatonniere/

 


10/04/2023

Une action à la fois environnementale, culturelle et civique : la presse en parle

La campagne commence à réveiller certains.
La presse en parle.

Dans le Ouest France en ligne du 30/03/23 : lien ici

Grosbreuil. L’association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière se mobilise

L’ASVB (association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière) lance une mobilisation urgente contre le projet de transfert de l’accès à l’école La rivière aux enfants par l’arrière, dans la vallée de la Bénatonnière.




À Grosbreuil, l’ASVB (association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière) lance une mobilisation contre le projet de transfert de l’accès à l’école La rivière aux enfants par l’arrière, dans la vallée de la Bénatonnière. « Outre tous les sujets environnementaux que nous n’avons cessé de signaler, nous dénonçons un nouvel accès pas seulement inutile et coûteux, mais pas pratique et dangereux. Or, la commune veut lancer les bulldozers en toute hâte, dès ce mois de mars . Dans sa précipitation, elle...


(lire la suite en ligne)

28/03/2023

L'ASVB lance le bouton d'arrêt d'urgence

 C'est l'ASVB qui lance une action originale :

une cagnotte durant un mois pour défendre le cadre de vie à Grosbreuil, contre le projet à 1,5 millions d'euros de transférer l'accès actuel de l'École de la rivière à l'arrière dans la Vallée de la Bénatonnière.

L’ASVB vous invite à actionner le couton d’arrêt d’urgence !



La campagne est lancée sur Helloasso : ici
Taper "Helloasso ASVB" dans un moteur de recherche pour trouver le lien.

Transfert d'accès : une campagne urgente pour suspendre les travaux

 L'ASVB diffuse un communiqué pour suspendre les travaux, et lance une campagne pour suspendre les travaux sous forme, non pas d'une pétition, mais d'une cagnotte durant un mois.

Communiqué de l'ASVB
Le 27/03/2023

Campagne contre les travaux de transfert de l’accès à l’École de la rivière dans la Vallée de la Bénatonnière 

 

 


 

 

L’ASVB vous invite à actionner le couton d’arrêt d’urgence !

C’est une mobilisation urgente contre le projet de transfert de l’accès à l’École de la rivière par l’arrière, dans la Vallée de la Bénatonnière.

 

Outre tous les sujets environnementaux que nous n’avons cessé de signaler, nous dénonçons un nouvel accès pas seulement inutile et coûteux, mais encore mal pratique et dangereux.

 

Or la commune veut lancer les bulldozers en toute hâte, dès ce mois de mars, peut-être pour anticiper toute prise de conscience et toute réaction de la population.

Dans sa précipitation, elle n'a même pas encore obtenu toutes les subventions, ce qui pourra augmentera la charge de la commune...

 

Ce nouvel accès vise à forcer les écoliers à rejoindre l'École de la rivière ou le car scolaire par une route à construire, qui sera en cul-de-de-sac, avec deux giratoires, un énorme parking inutile de 100 places (qui restera vide)... Il faudra faire 800 m de plus pour accéder l’école par l'arrière, emprunter une route plus dangereuse, emprunter un escalier d'une dizaine de marches...

 

Ceci va compliquer la vie quotidienne du bourg, créer de l'insécurité et de nouveaux problèmes sans bien régler des problèmes réels !

 

Pour cela, la commune s'arc-boute sur une demande complètement périmée de la directrice de l'École de la rivière qui avait publiquement réclamé en 2012 au nom de tout le personnel enseignant, un accès et un parking à l'arrière de l'école... C'était lors de l'enquête publique sur le PLU…

 

Mais depuis 11 ans, des aménagements ont été faits aux abords de l’École, et puis un huissier a même constaté qu'il n'y avait pas de problème de sécurité à l'entée actuelle !

 

En revanche, il y a un besoin plus global sur une station de car pour le ramassage scolaire : ceci ne concerne pas que l'école publique du village. Pourquoi envoyer tout le monde à l'arrière de l'École de la rivière ?

 

Il y a pourtant des solutions à étudier, et l'ASVB a des propositions, mais la mairie refuse toute écoute, tout dialogue : elle préfère l'autoritarisme et le conflit plutôt que de convaincre.

Ceci nous accule au contentieux judiciaire, notre dernier recoures quand il n’y a aucun dialogue possible.

 

Nous avons un projet alternatif et nous portons l'action et la voix des inquiets et des mécontents mais nous avons besoin de leur soutien moral et concret.

 

Plutôt qu'une pétition, nous lançons une campagne de soutien en ligne, sous forme de « cagnotte » très facile d'accès sur Internet à partir de 5 euros. Cette campagne urgente durera un mois. Elle est anonyme. Cela permettra aux familles de peser avec nous pour suspendre ces travaux avant qu’il ne soit trop tard !

 

Soutenir cette campagne, c'est agir pour stopper les bulldozers, demander le dialogue, reprendre le temps de l'écoute et de la réflexion sur les sujets d’urbanisme d’aujourd’hui.

 

 

La campagne est lancée sur Helloasso : ici

Taper "Helloasso ASVB" dans un moteur de recherche pour trouver le lien.

 

 


17/03/2023

Polémique au conseil municipal

Des questions gênantes ?

Cet article présente quelques confusions sur les noms et fonction mais l'essentiel est qu'il révèle les questions gênantes qui se posent !

source : Ouest France : ici

Le projet de zone de loisirs de Grosbreuil fait polémique au conseil municipal

À Grosbreuil, le projet de zone de loisirs fait polémique au conseil municipal. L’opposition soulève notamment l’annonce des travaux sous réserve d’attributions de subventions de l’État alors que le plan de financement n’est pas bouclé.

À Grosbreuil, les premiers travaux pour le projet de zone de loisirs font polémique au conseil municipal. Pour rappel, l’aménagement de cette zone, l’un des projets prioritaires pour 2023, devrait se faire en plusieurs étapes, avec notamment la sécurisation de l’école publique et des transports scolaires pour la première tranche, avec la création d’un giratoire à l’entrée du bourg. Les coûts prévisionnels pour cette opération s’élèvent à 1 278 795,52 € TTC. Pour cette concrétisation, la commune demande des subventions au Département. L’emprunt s’élèverait donc à 476 844,71 €.



Un problème soulevé par un citoyen

« Comment peut-on annoncer des travaux sur l’hypothèse d’un plan de financement non bouclé sous réserve d’attributions de subventions de l’État ? », se questionne Thierry du Rivau, président de l’Association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière (ASVB). Un problème soulevé par l’opposition qui demande une vue d’ensemble du projet. « Présent à cette réunion en tant que citoyen concerné par ce projet, j’ai soulevé un important problème de communication que j’ai confirmé par lettre écrite adressée au maire et au conseil municipal », explique Thierry du Rivau.


Lors d’un entretien en septembre 2022 avec les principaux concernés, Marc Hillairet, le maire et l’adjoint à l’urbanisme évoquent qu’aucun rapport d’huissier ne leur a été porté à connaissance. Dans cette circonstance, selon le président de l’ASVB, les élus devraient se rapprocher de l’avocat de la commune pour avoir tous les éléments importants du projet. « Pourtant, lors du dernier conseil de février, monsieur le maire n’a toujours pas eu connaissance, ni reçu le constat d’huissier nécessaire aux prises de décisions lourdes de conséquences, tant sur le plan des finances publiques que sur l’utilité réelle qui sont déjà contestés par certains » , ajoute-t-il.



Privés d’une pièce essentielle

Le conseil et la commission d’urbanisme ont donc été privés de l’étude d’une pièce essentielle qui aurait pu leur permettre de délibérer en toute connaissance de cause. « Pour nous assurer que l’information soit bien parvenue à tout le conseil, nous rappelons qu’un jugement sur le permis d’aménager n’est pas tranché à ce jour et qu’un pourvoi au conseil d’État est en cours à l’encontre de la décision de la cour d’appel de Nantes. »

Le président du conseil départemental, Alain Lebœuf, ainsi que le président de Vendée Grand Littoral, Maxence de Rugy, ont été informés du problème posé d’accorder des subventions à un tel projet allant à l’encontre de la politique actuelle de préservation des terres agricoles et du paysage.

Le "quoi qu'il en coûte" à Grosbreuil : la mairie voudrait lancer des travaux avant d'avoir les financements.

Il semble que le maire veut précipiter les travaux (coûteux, inutiles, non désirés...) et ceci avant même d'avoir obtenu les finances publiques ! 

C'est la politique qui consiste à mettre la charrue avant les bœufs !

source : Ouest France : ici

Grosbreuil. Travaux de la zone de loisirs : une demande de subventions

Lors du dernier conseil municipal, les élus se sont réunis pour évoquer le plan de financement de la première partie du projet de travaux de la zone de loisirs.


Celle-ci consiste en une desserte pour l’école la Rivière et les transports scolaires, dont les coûts prévisionnels s’élèvent à 1 065 662,93 € HT soit 1 278 795,52 € TTC, elle susceptible de bénéficier d’une subvention du Département au titre du nouveau programme Logement aménagement.

Le plan de financement de cette opération serait le suivant : coût des travaux d’aménagement, 1 006 172,93 € HT ; coût de la maîtrise d’œuvre, 59 490 € HT ; coût total, 1 065 662,93 € HT.


La subvention de l’État DETR (dotation équipement des territoires ruraux) 2023 pourrait s’élever à 289 498,20 €, la DETR 2021 à 129 360 €. Le fonds de relance à l’investissement de la Région, 20 540 € sous réserve d’attribution ; la subvention mobilité du Département, 40 000 € sous réserve d’attribution ; l’amende de police, 12 420,02 € ; et le fonds de concours Vendée Grand Littoral, 100 000 € sous réserve d’attribution. L’emprunt s’élèverait donc à 476 844,71 €.

Le début des travaux est prévu le 10 mars, avec une fin programmée le 5 décembre prochain.

Encore une démission d'un adjoint au maire à Grosbreuil

 À la mairie, c'est l'hécatombe.

On a du mal à suivre, mais c'est au moins la 3° démission d'un maire adjoint à Grosbreuil durant cette mandature.

Il y a d'abord eu la démission de l'adjoint aux finances (lire ici), puis l'adjoint à la communication ( ici )...


C'est symptomatique.

source : Ouest France : lien

Grosbreuil. Lætitia Barrain, adjointe, démissionne de ses fonctions

Lors du dernier conseil, Marc Hillairet, maire, et les élus ont dû procéder à la réélection des nouveaux membres au conseil d’administration du centre communal d’action sociale (CCAS) après la démission de Lætitia Barrain cinquième adjointe, vice-présidente du CCAS, chargée de la communication et conseillère municipale. Pour des raisons personnelles, elle n’a pas souhaité donner suite ses fonctions.