31/01/2023

L'ASVB obtient un nouveau droit de réponse dans la presse.

 Le Journal des Sables a récidivé :

Dans son article du 22 décembre dernier « Grosbreuil : la déclaration

d'utilité publique du futur complexe sportif validée par la justice », le Journal des Sables a récidivé en ne mentionnant que les personnes physiques et en les désignant comme "les anciens propriétaires du château de la Bénatonnière".

L'ASVB a dû de nouveau rétablir la vérité.

1. L'ASVB est le principal requérant, mais l'article ne le citait même pas.

2. Les biens et propriétés des requérants contre cette DUP n'ont aucun rapport avec le sujet...

3. Sur les quatre requérants, un seul a été propriétaire du château... pendant à peine un an... et ce il y a plus de 34 ans !

4. C'est la troisième fois que le Journal des Sables commet la même erreur avec le même acharnement. L'ASVB a dû réclamer -et obtenir- encore un deuxième droit de réponse pour rectifier la même erreur de ce journal...


La DUP validée par le tribunal de Nantes, l'ASVB débouté

 La DUP validée par le tribunal de Nantes, l'ASVB débouté.

Un gros revers pour l'association de défense du patrimoine.


lien : ici

Grosbreuil. Complexe sportif : l’ultime ligne droite

Justice



Le match, musclé, oppose, depuis douze ans, partisans et opposants d’un ambitieux pôle sportif et culturel à Grosbreuil. On en jouait les prolongations, ce mardi 29 novembre, à la barre de la cour administrative d’appel de Nantes.

Le suspense est mince : les anciens propriétaires et l’association de sauvegarde de la vallée de la Bénatonnière ont essuyé autant de défaites que de recours contre le programme (3,54 M€) : un stade de niveau régional, une salle polyvalente de 1 000 m² (300 places), une aire de jeu, et un parking mutualisé.

Déboutés, en première instance, en mai 2021 par le tribunal administratif, les farouches détracteurs du projet tiraient leur ultime salve en appel. Mais le rapporteur public, dont l’avis guide la décision finale des juges, ne leur a guère laissé d’espoir. Le magistrat a préconisé de confirmer la « déclaration d’utilité publique » du projet par le préfet de la Vendée, et la « cessibilité des parcelles » expropriées pour les besoins du réaménagement. Au cœur du litige, le dimensionnement du projet, jugé « disproportionné » au regard « des besoins de la commune » par les opposants.