29/10/2012

Les questions importantes à se poser + photos

Les questions à se poser :

a) Pourquoi le terrain de foot existant ne pourrai-t-il pas être conservé et remis aux normes ?
La proximité de la salle des sports en cours d’agrandissement n’est-elle pas faite pour accueillir les vestiaires et autres infrastructures aux normes de sécurité ?

b) Pourquoi le parking de l'ex-CAVAC proche, ne pourrai-il pas servir et le terrain à coté (acquisition de la commune) pour les nouvelles infrastructures (salle des fêtes) de la zone à urbaniser pour le loisir (zone AUl) ?

c) Pourquoi vouloir créer un parking pour l’école publique en dehors du centre bourg ce qui est un paradoxe alors qu’il y a un terrain en face de l'école rue de la Rivière ?  Ce problème n’est-il d'ailleurs pas exagéré, il semble qu’il ne se pose pas vraiment pour l’Ecole St. Louis. Alors pourquoi ? Qu'est-ce que cela cache de vouloir mettre un parking soit-disant pour l'école, mais pas vraiment demandé par l'école, et d'ailleurs pas à côté de l'école ?

d) Le fait de créer une entrée route des Sables (départementale très passagère) pour le projet de zone "de loisir" AUl n'est-il pas dangereux et n'entraînera-t'il pas des problèmes de sécurité ? Imagine-t-on ses enfants emprunter cette route pour aller faire du sport à vélo par exemple ? Et devoir la traverser ? Cela ne heurte-t-il pas le bon sens ?

e) Pourquoi refuser la proposition alternative de mettre la zone "de loisir" AUl à proximité des infrastructures existantes des aires de jeux pour enfants et la jeunesse, d'ailleurs située non loin de l’école ? Cela ne parait-il pas plus logique ?

f) Pourquoi n’y a-t-il pas d’étude économique comparative sur le coût des opérations selon les emplacements et les options alternatives proposées ? Grosbreuil : une municipalité qui ne connait pas la crise (de ses contribuables) ? Qui paiera le surcoût de l'option retenue par le conseil municipal ? Combien la hausse d'impôt ?

g) La commune est-elle si riche pour réaliser de tels projets alors que des travaux importants ont été engagés au fil des années et encore aujourd'hui pour un maintien des infrastructures sportives à leur emplacement actuel ? Il semble que la municipalité ait mal géré l'aménagement d'un nouveau terrain de foot (qui "prend l'eau") : est-ce une raison pour en faire un autre, géré de la même façon, ou bien ne faut-il pas déjà mener à bien et réussir ceux qui ont fait l'objet d'investissements publics ?

h) Quelle est la réalité du projet privé de la société qui vient de racheter la Bénatonnière ? Quels sont les statuts de cette société et son but ? Pourquoi n’y a-t-il eu aucune communication à ce sujet ? Comment se fait-il que le propriétaire ait toujours décliné les propositions de rencontre avec ses voisins, alors qu'il y a des servitudes réciproques ?


i) Ne faut-il pas se poser la question du fait que la municipalité en autorisant l’urbanisation autour du château  ouvre la porte à de profondes modifications d’un ensemble historique qui deviendra un immeuble voué à toutes sortes d’activités dont l’on ne connaît pas la finalité ?

Dans la mesure où la commune n’en a pas la maîtrise (ce château ne lui appartient pas) tout peut arriver. Aujourd’hui aucune certitude sur la réussite d’un projet qui peut se terminer en boite de nuit ou discothèque et demain en une découpe par morceau de la propriété : la sacrifiant ainsi à des intérêts exclusivement lucratifs.

 j) Quels est l’intérêt de la commune de s’initier dans ce projet privé en prenant partie pour un propriétaire au détriment d'autres ? N'y aurait-il pas un conflit d’intérêt avec un projet privé ? 

k) Pourquoi la Vallée de la Bénatonnière en face du bourg ne devrait-elle plus être protégée ?
La proposition alternative de créer un chemin thématique piéton bucolique avec vue sur le château et tables d’orientations pour les habitants de Grosbreuil ne mérite-elle pas d’être étudiée ?

l) Pourquoi empiéter sur les terrains au ras des maisons d'habitation en privant, sans motif, de leur jardin ceux qui ont restauré ces maisons pour désirer des habitations à la campagne ? Vous étiez heureux de vivre au vert avec un jardin ? Eh bien, on vous l'expropriera !

m) La commune de Grosbreuil ne ferait-elle pas mieux de se démarquer des communes du Tamondais en valorisant son patrimoine agricole et environnemental permettant de conserver une certaine tranquillité et art de vivre qui devient de plus en plus rare. N'est-ce pas un défaut d'anticipation ?  N'entend-elle pas la souffrance des gens qui vivent dans des zones sacrifiées, des villes bétonnées, et le désir de commune de qualité, à taille humaine, avec des valeurs respectant les traditions et ayant conservé l'harmonie villageoise ?



Pourquoi décourager les initiatives des habitants en faveur de l'environnement ? :

De nombreuses zones humiades à Grosbreuil :ici le ruisseau de la Bénatonnière

Une gestion de la faune : ici un faisan photographié dans des bois à Grosbreuil.


Implantation de ruches à Grosbreuil, grâce au biotope préservé.

Plantation de haies de paysage.
Un paysage entretenu et préservé : jusqu'à quand ?

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